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Cédric Kayser

Département des littératures de langue française
2104-3272
Sens public

 Je tiens d’abord et surtout à remercier Marcello Vitali-Rosati, mon directeur de thèse. Je le remercie de sa générosité et de sa passion infatigable pour les questions théoriques qui se posent à nous aujourd’hui. Les conseils de Marcello et son aide, tant sur le plan intellectuel que financier, m’ont permis de naviguer entre les aléas du parcours doctoral qui peut, par moments, s’apparenter à une véritable traversée du désert. Je le remercie de sa constante présence, sans laquelle je n’aurais pas pu mener à terme ce projet. Je lui en serai toujours reconnaissant.

 Merci à Margot Mellet pour sa relecture attentive du manuscrit, son enthousiasme et son savoir-faire éditorial. Ma reconnaissance en ce moment va également aux membres de la Chaire pour avoir donné à mon séjour à Montréal un premier ancrage.

 La présente étude n’aurait pas vu le jour sans le soutien financier des « Études supérieures et postdoctorales » (ESP) et du département de littératures de langue française de l’Université de Montréal. Elle a aussi été rendue possible par le soutien bienveillant de Marianne Gallo, adjointe au directeur, et de Lidia Charles Christine, technicienne en gestion des dossiers étudiants du département de lettres, dont l’efficacité m’a permis de répondre aux nombreuses exigences bureaucratiques qu’implique ce genre de travail.

 Cette thèse est dédiée à mes parents sans lesquels je n’aurais pas pu réaliser ce projet. Je dois à leurs encouragements et à leur indéfectible soutien d’avoir poursuivi un parcours doctoral à Montréal à l’issue de mes études en philosophie. En cet instant, je pense également à mes sœurs qui m’ont motivé tout au long de ce parcours. Merci à ma famille en Europe – proche et lointaine – pour leur confiance ainsi qu’au cercle d’amis qui n’a jamais douté de la réalisation de ce projet. Distance makes the heart grow fonder.

 Enfin, j’aimerais exprimer toute ma gratitude à Nathalie, ma personne préférée. Nos nombreuses conversations à la croisée du corps et de l’architecture ont affiné le regard critique posé sur mes recherches. Elle m’a permis, grâce à son écoute et à son savoir encyclopédique, de survivre à la phase finale du présent travail. Finalement, je dois à notre beagle H de m’avoir rappelé qu’il y avait derrière notre jardin un monde qu’il valait la peine d’explorer.